Leakcim a écrit :Il aurait resilié son contrat apparement.....Pour quelles raisons
VAFCNET a écrit :Joint ce jour par téléphone le joueur s'explique sur cette rupture de contrat :Leakcim a écrit :Il aurait resilié son contrat apparement.....Pour quelles raisons
tof a écrit :Si le salaire n'est pas un soucis le faire signer 6 mois ne nous engagerait à rien...c'est bien cela le fond du problème : "ne s'engager à rien" n'est vraiment pas porteur ...
tof a écrit :Si le salaire n'est pas un soucis le faire signer 6 mois ne nous engagerait à rien...Sans vouloir lui manquer et de respect et mettre en doute l'intégrité qu'il a et qui aura toujours pour notre club, sa carrière est finie comme Savidan et Saez.
VAFCNET a écrit :Vu les problèmes de la CFA2, s'il a la motivation, je ne pense pas qu'il serait contre l'idée de donner un coup de main à la réserve...tof a écrit :Si le salaire n'est pas un soucis le faire signer 6 mois ne nous engagerait à rien...Sans vouloir lui manquer et de respect et mettre en doute l'intégrité qu'il a et qui aura toujours pour notre club, sa carrière est finie comme Savidan et Saez.
Par contre, pourquoi pas l'intégrer dans le staff
tof a écrit :Au niveau de la réserve, pourquoi pasVAFCNET a écrit :Vu les problèmes de la CFA2, s'il a la motivation, je ne pense pas qu'il serait contre l'idée de donner un coup de main à la réserve...tof a écrit :Si le salaire n'est pas un soucis le faire signer 6 mois ne nous engagerait à rien...Sans vouloir lui manquer et de respect et mettre en doute l'intégrité qu'il a et qui aura toujours pour notre club, sa carrière est finie comme Savidan et Saez.
Par contre, pourquoi pas l'intégrer dans le staff
Il y a dix ans tout pile, Valenciennes accédait à la Ligue 1 au terme d’une saison de L2 surprenante et de toute beauté. Nous poursuivons notre tour d’horizon des acteurs de cet exercice avec l’un des plus emblématiques, Rudy Mater.
Rudy Mater reste persuadé qu’il pourrait apporter un supplément d’âme à l’équipe.
Rudy Mater a VA dans la peau. Une impression indélébile qui lui provoque des douleurs dès qu’il s’en éloigne trop longtemps. Et là, ça le picote sévère. Depuis deux ans, il multiplie les appels du pied, prêt à rendre service. Et pour pas cher en plus. Libéré du RWS Bruxelles où le trajet quotidien lui pompait de l’énergie, il affirme être prêt mentalement et physiquement. « J’ai encore les jambes, je peux aider », affirme-t-il, persuadé qu’avec son état d’esprit, il est à même d’apporter un supplément d’âme à l’équipe. Et si ce n’est pas sur le terrain, ça peut être sur le côté. « J’ai un papier écrit de M. Decourrière, appuyé par Jean-Louis Borloo, pour effectuer ma reconversion au sein du club. »
Sur sa carte de visite, douze ans de professionnalisme au VAFC. Et quelques-unes des plus belles pages de l’histoire du club : deux accessions (L2 et L1) coup sur coup et des victoires, notamment contre Marseille, qui lèvent les poils juste à y repenser. « J’ai fait un bon bout de chemin avec VA et mon regret, c’est de ne pas avoir pu dire au revoir aux supporters. Pour moi, c’est très difficile à vivre. En un an, tout a basculé. » Il ne réclame pas le statut d’icône mais estime que son passé plaide pour un retour dans l’un des staffs. Il passe d’ailleurs actuellement son diplôme du BEF à Liévin. « Plus jeune, je n’aimais pas trop l’école. Là, j’ai trouvé le courage pour y retourner et essayer de le décrocher. J’en profite pendant que j’ai encore la condition physique. »
En parlant de physique, on revoit parfaitement la mobylette qui faisait lever la tribune de Fer lorsqu’il se lançait dans un de ses raids dont il avait le secret. La communion avec les supporters, c’est le souvenir marquant de 2005-06. « On a pu leur redonner ce qu’ils nous avaient donné depuis le National, cette joie-là, les étoiles dans la tête, les yeux qui brillaient, c’est quelque chose de magique. » Magique comme cette équipe, « pas la meilleure, mais avec un gros caractère. On n’était pas les plus beaux, mais on était une équipe de copains. Les entraîneurs, depuis Didier Ollé-Nicolle, puis Daniel Leclerc et Antoine Kombouaré, ont tous su apporter les bonnes pièces manquantes. Et nous, on se disait qu’il fallait les intégrer au mieux pour qu’ils s’adaptent. La montée n’était pas un objectif, mais quand on a été dans les trois premiers, on s’est dit qu’on n’allait pas lâcher. »
Ça lui fera de belles histoires à raconter, notamment au petit dernier, son premier garçon après trois filles, qui pointera le bout de son nez en mai ou juin. Et qui signera certainement sa première licence à VA.
Rudy Mater.- Né le 13 octobre 1980 à Valenciennes. 1,80 m. Arrière droit.
Clubs : Cannes (2000-02, N et D2), VAFC (2002-14, N, L2, L1), Feignies (2015, CFA), Royal WS Bruxelles (2015-16, D2, Bel).
Avec VA : 350 matches de championnat (235 en L1), 10 buts (5).
Football : pour FFFtv, Rudy Mater pose son œil expert sur les matchs de VA au HainautSource : La Voix du Nord
Publié : 23 Janvier 2025 à 17h48
L’ancien arrière latéral, dont la carrière professionnelle s’est arrêtée il y a dix ans, a ajouté une corde à son arc cette saison. Salarié du VAFC et coach des U18, il joue aussi les consultants pour FFFtv les soirs de match de l’équipe première à domicile.
Rudy Mater a pris de nouvelles habitudes cette saison, à chaque fois que VA joue à la maison. Il s’installe dans la cabine des commentateurs, dans les hauteurs de la tribune présidentielle, loin du terrain – ce qui ne rend pas toujours facile la vision des matchs dans leurs moindres détails. Assigné à son nouveau rôle de consultant pour le compte de la 3F (Fédération française de football) qui assure la diffusion des matchs de National.
Le Valenciennois y est d’abord allé pour voir, comme au poker, lors du premier match face à Aubagne. « La fédé cherchait un ancien joueur, le club a pensé à moi. Mais il fallait d’abord que je sache où je mettais les pieds, ce n’était pas évident. » Moins compliqué a priori de décortiquer un match du Real Madrid ou du PSG que de Paris 13 Atletico dont les joueurs passent plus rarement à la télé.
« Attention, c’est du travail ! On fait nos fiches, on n’arrive pas comme ça les mains dans les poches. » Rudy s’est pris au jeu. Sans chercher à prendre de conseils auprès d’anciens joueurs ayant osé sauter le pas avant lui. Il s’est laissé guider, accompagné par le journaliste Frédéric Touchard, avec qui il est habituellement en binôme. « Il m’a dit : “Mets-toi à l’aise, c’est moi qui vais venir à toi.” Petit à petit, j’ai pris des initiatives. »
Il est là pour amener son expertise, son « œil d’ancien pro ». Pas pour casser du sucre sur le dos des joueurs ou des coachs. Ni pour s’emballer à la moindre envolée valenciennoise. La fois dernière, quand Lucas Buades a ouvert le score face à Paris 13 Atletico, il n’a pu réprimer une légère montée dans les tours. « On marque et je crie presque dans le micro. » C’est là qu’il faut prendre sur soi. « On fait parfois de petits écarts, sourit-il. C’est vite oublié et on rebondit. »
Salarié du club dont il coache les U18 mais pas rémunéré pour ce qu’il fait en cabine, il avoue s’être pris au jeu et prendre un réel plaisir dans cette nouvelle fonction. « Si on me le repropose la saison prochaine, je pense que j’y retournerai. »
VALENCIENNES – ORLÉANS, vendredi, 19 h 30, stade du Hainaut.
dooby59 a écrit : ↑23 janv. 2025, 19:33Oui, et pour suivre les matches sur ce canal, je dois dire que c'est très agréable d'avoir un commentateur issu de l'équipe, surtout avec le tempérament qu'on connait à Rudy et qui ressort parfois au fil des actions de jeu. Initiative très positive et coup de poker réussi !!Football : pour FFFtv, Rudy Mater pose son œil expert sur les matchs de VA au HainautSource : La Voix du Nord
Publié : 23 Janvier 2025 à 17h48
L’ancien arrière latéral, dont la carrière professionnelle s’est arrêtée il y a dix ans, a ajouté une corde à son arc cette saison. Salarié du VAFC et coach des U18, il joue aussi les consultants pour FFFtv les soirs de match de l’équipe première à domicile.
Rudy Mater a pris de nouvelles habitudes cette saison, à chaque fois que VA joue à la maison. Il s’installe dans la cabine des commentateurs, dans les hauteurs de la tribune présidentielle, loin du terrain – ce qui ne rend pas toujours facile la vision des matchs dans leurs moindres détails. Assigné à son nouveau rôle de consultant pour le compte de la 3F (Fédération française de football) qui assure la diffusion des matchs de National.
Le Valenciennois y est d’abord allé pour voir, comme au poker, lors du premier match face à Aubagne. « La fédé cherchait un ancien joueur, le club a pensé à moi. Mais il fallait d’abord que je sache où je mettais les pieds, ce n’était pas évident. » Moins compliqué a priori de décortiquer un match du Real Madrid ou du PSG que de Paris 13 Atletico dont les joueurs passent plus rarement à la télé.
« Attention, c’est du travail ! On fait nos fiches, on n’arrive pas comme ça les mains dans les poches. » Rudy s’est pris au jeu. Sans chercher à prendre de conseils auprès d’anciens joueurs ayant osé sauter le pas avant lui. Il s’est laissé guider, accompagné par le journaliste Frédéric Touchard, avec qui il est habituellement en binôme. « Il m’a dit : “Mets-toi à l’aise, c’est moi qui vais venir à toi.” Petit à petit, j’ai pris des initiatives. »
Il est là pour amener son expertise, son « œil d’ancien pro ». Pas pour casser du sucre sur le dos des joueurs ou des coachs. Ni pour s’emballer à la moindre envolée valenciennoise. La fois dernière, quand Lucas Buades a ouvert le score face à Paris 13 Atletico, il n’a pu réprimer une légère montée dans les tours. « On marque et je crie presque dans le micro. » C’est là qu’il faut prendre sur soi. « On fait parfois de petits écarts, sourit-il. C’est vite oublié et on rebondit. »
Salarié du club dont il coache les U18 mais pas rémunéré pour ce qu’il fait en cabine, il avoue s’être pris au jeu et prendre un réel plaisir dans cette nouvelle fonction. « Si on me le repropose la saison prochaine, je pense que j’y retournerai. »
VALENCIENNES – ORLÉANS, vendredi, 19 h 30, stade du Hainaut.