Normal qu’ils ne viennent pas vous saluez ils jouent pour un salaire est non pou le club
chris59410 a écrit : ↑19 mars 2023, 09:39 Nous étions 25...25 courageux au chevet d'une vingtaine d'ingrats, coach inclus...
Et tout comme à Quevilly Rouen Métropole, aucun joueur n'est venu applaudir, ni saluer, ni regarder le parcage à la fin du match...
phil a écrit : ↑19 mars 2023, 09:08 La seule solution, une annonce du départ d'EZ.Une annonce du départ d'EZ? Comme l'annonce de la mise en vente du club en 2018? Bientôt 5 ans qu'il nous a pris pour des cons... C'est une démission officielle qu'il nous faut, rien d'autre, ET l'acceptation de cette démission par tous ses partenaires / actionnaires.
Ne nous leurrons pas, une descente serait catastrophique avec un risque majeur de disparition pure et simple du club. Des exemples à la Strasbourgeoise ou à la bastiaise sont rares. La L2 à 18 va constituer un bastion difficilement atteignable sans moyens avérés et structuration profonde des clubs de National.
Je ne souhaite pas tuer le chien pour faire fuir la tique, du répulsif à haute intensité oui.
PLACE a écrit : ↑19 mars 2023, 11:07 Il ne faut pas espérer" descendre" en national car les budgets vont fondre et l'espérance d'une remontée rapide est illusoire. On risquer tout simplement de perdre notre statut professionnel et nos meilleurs jeunesPersonne n'espère la descente. Elle n'a pas besoin de se faire espèrer, elle va arriver ; cette saison, la saison prochaine, dans deux, trois, quatre ans... Ça ne peut finir que comme ça.
« Là, ça pue au classement » : le VAFC va devoir s’activer pour sauver sa peau
Battu à Caen, VA, qui n’a gagné qu’un seul de ses seize derniers matchs, a vu la zone rouge se rapprocher. À dix journées de la fin, et avec seulement deux petits points d’avance, la lutte pour se sauver est devenue une réalité concrète.
On avait un peu perdu l’habitude. Celle de scruter dès le coup de sifflet final les résultats des adversaires du VAFC pour savoir quelle teinte donner à la soirée et le situer dans la bataille du maintien. Cette époque est révolue. Le bon début de saison est un lointain souvenir et VA a fini par dilapider son matelas accumulé jusqu’à l’automne à cause d’une dynamique d’escargot : une seule victoire sur les seize derniers matchs.
Alors on a repris peu à peu les réflexes de survie de l’an dernier et le coup d’œil aux résultats du soir a fait passer un frisson, samedi, à Caen. Les poursuivants sont apparus subitement très gros dans le rétro et Saint-Étienne est passé devant, quand les autres ont accéléré la cadence – à l’exception de Dijon, qui ne prend des points contre personne sauf quand il joue Valenciennes…
« Là, ça pue au classement… »
La défaite à Caen, conjuguée aux autres résultats, a fait basculer le VAFC dans la réalité très concrète de la lutte pour le maintien. Quatorzièmes à deux points du précipice, les Nordistes sentent le souffle de la zone rouge leur taquiner dangereusement la nuque et les mines déconfites de la délégation valenciennoise traduisaient une menace désormais bien réelle après le match.
« Là, ça pue au classement », grinçait un membre du staff. « Ça fait ch… », soufflait un autre membre de l’encadrement. VA a donc les deux pieds dedans et va vivre, comme l’an dernier, une fin de championnat au couteau dans une saison sans pitié à quatre descentes. « Ça fait un moment que ça se rapproche, maintenant ça se voit au classement, on y est, constatait Ugo Bonnet, bien conscient de la situation. Il n’y a plus à rêver, à se cacher ou à parler d’autre chose. On va jouer le maintien, il faut en prendre conscience parce que ça ne va pas arriver tout seul et quand je vois les buts qu’on prend j’ai l’impression qu’on est un peu trop gentils. Il reste dix matchs, ça va être dix batailles. Le National, je connais et je n’ai pas envie d’y retourner. »
« J’en parle depuis le début »
Voir VA lutter pour sa peau n’est pas une surprise même si les trois premiers mois avaient fait espérer autre chose. « La lutte pour le maintien, j’en parle depuis le début, quand j’ai repris l’équipe le 20 juin j’ai toujours dit que ça serait dur de la 1re à la 38e journée. Ce discours est toujours le même aujourd’hui, rappelle Nicolas Rabuel. Mais oui, la situation a changé. Forcément quand tu ne gagnes pas. Tu ne fais que des nuls et même un match comme celui de Caen, tu le perds. »
Programmé pour sauver sa tête, le VAFC y est dorénavant pleinement confronté. « Est-ce qu’on est psychologiquement armés pour y arriver ? Si je commence à me poser cette question, je ne reviens pas après la trêve internationale », répond avec une pointe de cynisme Nicolas Rabuel. Ses hommes ont quinze jours pour se préparer à deux derniers mois de compétition décisifs pour leur avenir et retrouver vite le goût de la victoire. « Dans l’attitude, l’état d’esprit, la concentration, il va falloir se comporter comme une équipe qui joue le maintien, prévient Ugo Bonnet. On est capables d’y arriver, il n’y a pas de déclic à avoir. La réalité est là, il suffit de regarder le classement. » Même si ce n’est plus très agréable.
dooby59 a écrit : ↑19 mars 2023, 07:02 Un bail que je n’ai pas posté mais enfin un petit vent d’espoir…Bon pas mal de suspens, mais pas mécontent du résultat !
Espérons une branlée contre le PFC et ensuite déplacement à Annecy qui devrait jouer le nul. Avec un peu de chance, ce club sera dans la charrette dans 2 journées et on va pouvoir enfin commencer à espérer la fin de l’ère EZ.
Seule une descente pourra permettre d’en finir avec ce triste personnage. C’est triste mais il n’y a pas d’autres alternatives.