26° journée - VAFC - ESTAC: 2 - 2 . L'arbitre doit aimer l'andouillette...
Entendons-nous bien, le titre (petit hommage en passant à l'autre andouillette que celle de Cambrai, celle de Troyes...) est ironique, mais le score n'est pas illogique, loin s'en faut !
En gros, l'impact de groupe fut troyen (possession à 59%, assez impressionnant à l'extérieur, et beaucoup d'autorité, d'intensité, dans le jeu collectif) et, cela, notre équipe l'a vraiment trop accepté physiquement, aux seules exceptions de Kankava et Cuffaut... En revanche, le nombre d'occasions franches de but fut valenciennois (12 tirs dont 5 cadrés), et le quota de pénos non sifflés (deux à trois) par l'arbitre aussi, hélas... Dans des conditions similaires, à Lille, avant-hier, l'arbitre croate avait sifflé pénalty pour l'Ajax... Mais bon, nous n'avons pas la maîtrise des néerlandais !!!
Cela fait qu'en additionnant les occasions vendangées (hors-jeu parfois limites, précipitation) et les pénos non accordés, nous pouvions raisontitnablement espérer mieux qu'un nul face au leader.
Mais voilà, c'est le terrain qui dicte sa loi, et sur le terrain, les troyens ont animé le jeu en leaders, même si le remplacement de leur charnière défensive titulaire nous offrait de temps à autre des brèches impressionnantes dont nos attaquant auraient pu mieux profiter... Au bout du compte, Robail, Guillaume et Cabral ont beau s'être régalés devant, ils n'ont scoré qu'une fois, magnifiquement, par Baptiste (13°)... Ce but eut deux jumeaux, par Cabral, mais à chaque fois refusés pour hors-jeu, disons, prêtant à discussion... Et il a fallu une tête de Vandenabeele qui sauvait ainsi un match personnel très inégal, pour arracher dans le temps additionnel (91°) une égalisation plutôt méritée pour répondre au pénalty troyen (64°) et à leur second but très facile face à une défense en proie aux courants d'air (71°) à des moments où nos joueurs acceptaient de se laisser dominer par l'équipe adverse comme ils ont tendance à le faire trop souvent... et rarement sans dommages ! Bilan de cette rencontre animée et agréable à suivre, la confirmation que notre équipe est à la fois capable de challenger avec les meilleures, mais incapable de les mater et de les soumettre... Confirmation aussi de nos incapacités à tuer un match (première mi-temps !) ou à tenir un score (seconde mi-temps)... Deux faiblesses constitutives qui rendent irrémédiablement impossibles des rêves d'accession. A méditer pour le futur, puisque pour cette année, eh bien, le dossier est clos !
L'ambiance micro de la retransmission a permis également de démontrer l'excellence et la rigueur du coach dont les remarques et conseils précis brillaient par leur lucidité et leur pertinence. Hélas, certains joueurs ne sont vraiment pas au niveau de l'exigence et de la rigueur parfois souhaitées... malheureusement. Les meilleurs ce jour, Kankava, Cuffaut, nos joueurs de classe, et la triplette offensive (Robail-Guillaume-Cabral), même si elle n'a pas converti tout ce qu'elle a laissé entrevoir !
Il faudra encore attendre pour nous voir gagner sous l'arbitrage de Monsieur Lissorgue cette saison... Nous en sommes à deux défaites et deux nuls... De là à dire qu'il ne nous porte pas chance...

Entendons-nous bien, le titre (petit hommage en passant à l'autre andouillette que celle de Cambrai, celle de Troyes...) est ironique, mais le score n'est pas illogique, loin s'en faut !
En gros, l'impact de groupe fut troyen (possession à 59%, assez impressionnant à l'extérieur, et beaucoup d'autorité, d'intensité, dans le jeu collectif) et, cela, notre équipe l'a vraiment trop accepté physiquement, aux seules exceptions de Kankava et Cuffaut... En revanche, le nombre d'occasions franches de but fut valenciennois (12 tirs dont 5 cadrés), et le quota de pénos non sifflés (deux à trois) par l'arbitre aussi, hélas... Dans des conditions similaires, à Lille, avant-hier, l'arbitre croate avait sifflé pénalty pour l'Ajax... Mais bon, nous n'avons pas la maîtrise des néerlandais !!!


Cela fait qu'en additionnant les occasions vendangées (hors-jeu parfois limites, précipitation) et les pénos non accordés, nous pouvions raisontitnablement espérer mieux qu'un nul face au leader.
Mais voilà, c'est le terrain qui dicte sa loi, et sur le terrain, les troyens ont animé le jeu en leaders, même si le remplacement de leur charnière défensive titulaire nous offrait de temps à autre des brèches impressionnantes dont nos attaquant auraient pu mieux profiter... Au bout du compte, Robail, Guillaume et Cabral ont beau s'être régalés devant, ils n'ont scoré qu'une fois, magnifiquement, par Baptiste (13°)... Ce but eut deux jumeaux, par Cabral, mais à chaque fois refusés pour hors-jeu, disons, prêtant à discussion... Et il a fallu une tête de Vandenabeele qui sauvait ainsi un match personnel très inégal, pour arracher dans le temps additionnel (91°) une égalisation plutôt méritée pour répondre au pénalty troyen (64°) et à leur second but très facile face à une défense en proie aux courants d'air (71°) à des moments où nos joueurs acceptaient de se laisser dominer par l'équipe adverse comme ils ont tendance à le faire trop souvent... et rarement sans dommages ! Bilan de cette rencontre animée et agréable à suivre, la confirmation que notre équipe est à la fois capable de challenger avec les meilleures, mais incapable de les mater et de les soumettre... Confirmation aussi de nos incapacités à tuer un match (première mi-temps !) ou à tenir un score (seconde mi-temps)... Deux faiblesses constitutives qui rendent irrémédiablement impossibles des rêves d'accession. A méditer pour le futur, puisque pour cette année, eh bien, le dossier est clos !
L'ambiance micro de la retransmission a permis également de démontrer l'excellence et la rigueur du coach dont les remarques et conseils précis brillaient par leur lucidité et leur pertinence. Hélas, certains joueurs ne sont vraiment pas au niveau de l'exigence et de la rigueur parfois souhaitées... malheureusement. Les meilleurs ce jour, Kankava, Cuffaut, nos joueurs de classe, et la triplette offensive (Robail-Guillaume-Cabral), même si elle n'a pas converti tout ce qu'elle a laissé entrevoir !

Il faudra encore attendre pour nous voir gagner sous l'arbitrage de Monsieur Lissorgue cette saison... Nous en sommes à deux défaites et deux nuls... De là à dire qu'il ne nous porte pas chance...

