Un bon leur président. Il a fait la même école de commerce que moi.
J'aurais bien aimé récupérer le même heritage.

J'aurais bien aimé récupérer le même heritage.

dooby59 a écrit :N’empêche Reims est revenu de l’enfer bien après VA et ils ont déjà 45 millions d’euros de budgetReims, c'est quand même plus riche que Valenciennes, bien plus riche. Nous avons été bien plus "vivaces" qu'eux, vu le nombre d'années qu'ils ont passé au purgatoire. Malheureusement, notre vivacité passée n'est plus, nous sommes dans une impasse tant que la direction actuelle ne passe pas la main.
cambronne a écrit :Qu’est-ce que tu entends par « riche » ? Et que vient faire la richesse locale dans un football mondialisé ?dooby59 a écrit :N’empêche Reims est revenu de l’enfer bien après VA et ils ont déjà 45 millions d’euros de budgetReims, c'est quand même plus riche que Valenciennes, bien plus riche. Nous avons été bien plus "vivaces" qu'eux, vu le nombre d'années qu'ils ont passé au purgatoire. Malheureusement, notre vivacité passée n'est plus, nous sommes dans une impasse tant que la direction actuelle ne passe pas la main.
Cette direction est mortifère, nous ne pouvons rien espérer tant qu'elle est en place.
dooby59 a écrit :Le foot n'est pas mondialisé à tous les niveaux. Les gros clubs sont mondialisés, notamment au niveau de leurs sponsors (et propriétaires). Mais des clubs moyens et petits, avant d'intéresser au niveau global, ils passent par le local (propriétaires, actionnaires, sponsors...). Donc l'assise locale est importante pour la majorité de ces clubs. Il y a bien sûr des exceptions: Auxerre, Sochaux.cambronne a écrit :Qu’est-ce que tu entends par « riche » ? Et que vient faire la richesse locale dans un football mondialisé ?dooby59 a écrit :N’empêche Reims est revenu de l’enfer bien après VA et ils ont déjà 45 millions d’euros de budgetReims, c'est quand même plus riche que Valenciennes, bien plus riche. Nous avons été bien plus "vivaces" qu'eux, vu le nombre d'années qu'ils ont passé au purgatoire. Malheureusement, notre vivacité passée n'est plus, nous sommes dans une impasse tant que la direction actuelle ne passe pas la main.
Cette direction est mortifère, nous ne pouvons rien espérer tant qu'elle est en place.
TLBXL a écrit :Le football français est mondialisé depuis longtemps au niveau des joueurs et du sponsoring.dooby59 a écrit :Le foot n'est pas mondialisé à tous les niveaux. Les gros clubs sont mondialisés, notamment au niveau de leurs sponsors (et propriétaires). Mais des clubs moyens et petits, avant d'intéresser au niveau global, ils passent par le local (propriétaires, actionnaires, sponsors...). Donc l'assise locale est importante pour la majorité de ces clubs. Il y a bien sûr des exceptions: Auxerre, Sochaux.cambronne a écrit :Reims, c'est quand même plus riche que Valenciennes, bien plus riche. Nous avons été bien plus "vivaces" qu'eux, vu le nombre d'années qu'ils ont passé au purgatoire. Malheureusement, notre vivacité passée n'est plus, nous sommes dans une impasse tant que la direction actuelle ne passe pas la main.Qu’est-ce que tu entends par « riche » ? Et que vient faire la richesse locale dans un football mondialisé ?
Cette direction est mortifère, nous ne pouvons rien espérer tant qu'elle est en place.
TLBXL a écrit :L'argument de la différence de richesse, c'est à voir. Parce qu'au final, un club ne doit pas avaler toute la richesse de la région pour grandir. A VA, on a un budget de 9,5M€ et moins de 3M€ pour la MS. Idéalement, il faudrait qu'on gonfle ces deux chiffres de 3M€ pour pouvoir jouer la montée. Ces 3M€ sont-ils disponibles dans le valenciennois, clairement oui.Donc ça n'est pas la donnée "richesse" de l'arrondissement qui pose problème, mais le projet et les personnalités qui portent le projet qui posent problème.Qui est prêt dans l’arrondissement, à investir 3 millions d’euros dans le club ?
dooby59 a écrit :C'est bien ça, le foot n'est pas mondialisé à tous les niveaux: certains clubs ne le sont pas, et certains clubs sur certains aspects ne le sont pas.TLBXL a écrit : Le foot n'est pas mondialisé à tous les niveaux. Les gros clubs sont mondialisés, notamment au niveau de leurs sponsors (et propriétaires). Mais des clubs moyens et petits, avant d'intéresser au niveau global, ils passent par le local (propriétaires, actionnaires, sponsors...). Donc l'assise locale est importante pour la majorité de ces clubs. Il y a bien sûr des exceptions: Auxerre, Sochaux.Le football français est mondialisé depuis longtemps au niveau des joueurs et du sponsoring.
Le phénomène de mondialisation au niveau de la propriété et de la capitalisation des clubs français existe depuis un moment, mais c’est un phénomène assez récent qui est en train de se démocratiser de plus en plus.
Tu parles d’Auxerre ou Sochaux mais en petit club tu oublies Le Havre qui est sous capitaux américains. En club moyen, Lens passé par l’Azerbaïdjan de Mammadov puis passé sous contrôle d’une société Luxembourgeoise, Nice sous capitaux sino-américain avant de passer sous pavillon britannique, etc.
Reims qui cherche des sponsors asiatiques : http://radiolcf.gbtimes.com/world/le-st ... or-chinois
https://stade-de-reims.com/eva-air-pren ... -de-reims/
Pourtant Reims, c’est riche ?
TLBXL a écrit :L'argument de la différence de richesse, c'est à voir. Parce qu'au final, un club ne doit pas avaler toute la richesse de la région pour grandir. A VA, on a un budget de 9,5M€ et moins de 3M€ pour la MS. Idéalement, il faudrait qu'on gonfle ces deux chiffres de 3M€ pour pouvoir jouer la montée. Ces 3M€ sont-ils disponibles dans le valenciennois, clairement oui.Donc ça n'est pas la donnée "richesse" de l'arrondissement qui pose problème, mais le projet et les personnalités qui portent le projet qui posent problème.Qui est prêt dans l’arrondissement, à investir 3 millions d’euros dans le club ?
Sachant qu’on va voir de moins en moins de petits investisseurs locaux porter la reprise de club, sachant qu’ils peuvent de moins en moins lutter face au phénomène d’inflation dans le football (Exemple : Rousselot qui cherche à se désengager de l’ASNL depuis un petit moment, Romeyer/Caiazzo qui cherche des investisseurs pour faire grandir l’ASSE, etc).
TLBXL a écrit :Hormis avoir des œillères, le foot est archi mondialisé puisque nous vivons dans une économie mondialisée. A ce que je sache, les frontières de la France ne sont pas barricadées par des barbelés ?dooby59 a écrit :TLBXL a écrit : Le foot n'est pas mondialisé à tous les niveaux. Les gros clubs sont mondialisés, notamment au niveau de leurs sponsors (et propriétaires). Mais des clubs moyens et petits, avant d'intéresser au niveau global, ils passent par le local (propriétaires, actionnaires, sponsors...). Donc l'assise locale est importante pour la majorité de ces clubs. Il y a bien sûr des exceptions: Auxerre, Sochaux.Le football français est mondialisé depuis longtemps au niveau des joueurs et du sponsoring.
Le phénomène de mondialisation au niveau de la propriété et de la capitalisation des clubs français existe depuis un moment, mais c’est un phénomène assez récent qui est en train de se démocratiser de plus en plus.
Tu parles d’Auxerre ou Sochaux mais en petit club tu oublies Le Havre qui est sous capitaux américains. En club moyen, Lens passé par l’Azerbaïdjan de Mammadov puis passé sous contrôle d’une société Luxembourgeoise, Nice sous capitaux sino-américain avant de passer sous pavillon britannique, etc.
Reims qui cherche des sponsors asiatiques : http://radiolcf.gbtimes.com/world/le-st ... or-chinois
https://stade-de-reims.com/eva-air-pren ... -de-reims/
Pourtant Reims, c’est riche ?
TLBXL a écrit :C'est bien ça, le foot n'est pas mondialisé à tous les niveaux: certains clubs ne le sont pas, et certains clubs sur certains aspects ne le sont pas.
L'exemple de Reims est assez criant, d'ailleurs. Pour remonter de leur enfer, ils se sont basés sur le local: sponsors locaux, entrepreneurs locaux. Et arrivé un moment, pour grandir, il faut aller voir ailleurs, ce qu'ils font (avec l'avantage qu'ils ont la marque "Champagne" de renomée mondiale). Pour VA, il ne faut pas un sponsor à 3M€ ou un actionnaire à 3M€ chaque année, mais quelqu'un qui sait mettre un peu et créer une triple dynamique: sportive, sponsoréenne (en redonnat du désir, de la confiance, afin d'agréger des soutiens moyens ou plus petis) et spectarice. Et ça commencera avec des sponsors/entreprises locaux. On savait les trouver avant. Ils sont toujours là. Et ensuite, on grandira.