• Saison 2024-2025: Infos générales

 #1118929  par chris59410
 
https://www.lavoixdunord.fr/1495478/art ... e-irreelle
Orléans – VAFC : retour en questions sur une soirée irréelle

Le match entre Orléans et Valenciennes n’a pu aller à son terme vendredi soir, interrompu au moment où devait démarrer la seconde période, après qu’un incendie a ravagé la buvette et provoqué l’évacuation du stade loiretain. Il faudra rejouer cette rencontre à une date qui reste à fixer.

Que s’est-il passé à Orléans ?

En moins de quatre mois, c’est le deuxième match officiel du VAFC qui ne va pas à son terme. À Troyes, début mai, l’arbitre, M. Thual, avait pris la décision d’arrêter les frais à la 89e minute, après que les ultras aubois, ulcérés par la prestation de leur équipe, avaient déversé leur rage, insultant leurs propres joueurs, balançant des fumigènes sur la pelouse…

Valenciennes n’est pas plus responsable de ce qui s’est passé vendredi à Orléans, dans un tout autre registre. Les vingt-deux joueurs avaient commencé à ressortir des vestiaires après la pause quand on a vu des flammes s’élever derrière le but qu’aurait dû garder Jean Louchet. Cela venait de la buvette qu’un feu de friteuse, rapidement hors de contrôle, a fini par transformer en brasier.

Les fumées, diffuses au début, se sont épaissies, poussant le speaker à réclamer aux spectateurs incrédules d’évacuer les tribunes. L’alarme du stade s’est dès lors mise à retentir et vu la tournure prise par les événements, il ne fallait pas être grand clerc pour comprendre que le match ne reprendrait pas. La décision a fini par être prise, aux alentours de 21 h 30, étant entendu que l’interruption ayant duré plus de quarante-cinq minutes, la rencontre devra être rejouée dans son intégralité.

Pourquoi le match avait-il déjà été arrêté en première période ?
Cela n’avait strictement rien à voir avec l’incendie. Les Valenciennois venaient de refaire leur retard initial concédé sur un bête penalty quand Jean Louchet, profitant d’un arrêt de jeu, s’est précipité vers son banc pour alerter d’un truc moche dans le parcage visiteur où avait pris place, vendredi, une grosse cinquantaine de supporters valenciennois.

« On s’adaptera à la situation mais cela représente un coût énergétique pour les joueurs. »

L’un d’entre eux venait de basculer dans le vide, du haut de la tribune, victime d’une chute de plusieurs mètres. Il se serait ouvert le crâne, aurait abondamment saigné et comme il a perdu connaissance, un mouvement de panique a traversé le parcage dont les gestes et les cris ont vite donné une idée précise de l’urgence de la situation.

Les secours se sont pressés autour du blessé, qui a fini par revenir à lui avant d’être transporté par les pompiers à l’hôpital tout proche. Le jeu s’est interrompu pendant ce laps de temps, huit minutes d’attente et d’angoisse qui ont été décomptées dans le temps additionnel. Samedi, la victime était toujours en observation mais les nouvelles sur son état semblaient plutôt rassurantes.

Quand le match pourra-t-il être rejoué ?

C’est toute la question. La possibilité qu’il puisse avoir lieu ce week-end a été assez vite écartée. Les dégâts provoqués par l’incendie et les fumées, dont les retombées ont laissé de la suie un peu partout, vont quand même nécessiter du temps avant que le stade de la Source soit de nouveau opérationnel.

C’est à la FFF de décider. Les clubs de National entrant en lice dès le cinquième tour de la Coupe de France (12 et 13 octobre), cela n’offre pas une immense liberté d’action, tous les week-ends étant potentiellement pris d’ici à la fin de l’année. Vendredi, Ahmed Kantari craignait de devoir jouer en milieu de semaine. « Pénalisant » pour les joueurs, selon lui. « On s’adaptera à la situation mais cela représente un coût énergétique. » Pour la planète aussi.

Ahmed Kantari attend trois ou quatre joueurs

Le temps commence à presser à VA, qui a vu partir, la semaine dernière, Ilyès Hamache à Schalke 04 (Bundesliga 2), dix-huit jours après le Danois David Kruse (vers l’IFK Göteborg). « Je suis très content pour Ilyès, c’est un joueur qui a été formé au club, qui y a passé beaucoup d’années. Dans sa progression de carrière, il avait besoin de voir autre chose », notait Ahmed Kantari, mercredi, à la fin de l’entraînement.

Dans la dernière ligne droite d’un mercato qui ferme vendredi, à 23 heures, il est aussi une réalité que l’entraîneur n’ignore pas : il ne dispose plus désormais que de seize joueurs de champ (auxquels peuvent ponctuellement venir se greffer des jeunes du centre de formation). Un groupe certes « de qualité mais en quantité un peu juste ».

Dans les jours qui arrivent, il espère donc l’arrivée de trois ou quatre joueurs, grosso modo un par ligne. La signature d’un défenseur central semble prioritaire : « On a Joachim (Kayi Sanda) qui va partir en sélection aussi, et comme on n’a que quatre centraux pour trois postes… Une suspension, une blessure, et ça peut basculer très vite. »
 #1118939  par fletcher
 
LEONIDAS a écrit : 26 août 2024, 06:51 ❌ 𝗔𝗣𝗣𝗟𝗘𝗙𝗜𝗘𝗟𝗗 𝗤𝗨𝗜𝗧𝗧𝗘 𝗟𝗘 𝗩𝗔𝗙𝗖

𝗘𝗫𝗖𝗟𝗨’ : Ernesto AppleField Alvarez, directeur sportif adjoint du VAFC, quitte le club.

Une décision étonnante prise par le club à une semaine de la fin du mercato d’été.

Bonne continuation à lui ! 🙌

#VAFC
Ah bon, je ne savais même pas qu'il était arrivé.
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 #1118979  par chris59410
 
https://www.lavoixdunord.fr/1496759/art ... argi-de-va
Football : qui fait quoi au sein du staff (très) élargi de VA ?

La descente en National n’a pas coupé court à l’extrême professionnalisation à l’œuvre. Autour d’Ahmed Kantari, que le propriétaire du VAFC, Sport Republic, a reconduit en juin dans ses fonctions d’entraîneur principal, ils sont désormais treize à l’intérieur du staff. On vous explique le rôle de chacun.

Le pôle technique
Ahmed Kantari, dont le rôle se rapproche aujourd’hui de celui d’un manageur, reste viscéralement attaché au terrain. « J’ai besoin d’être proche des joueurs, d’intervenir pendant les séances » qu’il monte en lien avec Stéphane Mangione, le premier de ses adjoints. L’ancien attaquant, qui a connu la Ligue 2 et le National, s’occupe plus particulièrement des joueurs offensifs avec qui il mène un travail devant le but. « L’an dernier, on a marqué peu en Ligue 2, j’avais envie de quelqu’un qui ait cette sensibilité », souffle Ahmed Kantari. Les deux hommes n’avaient jamais collaboré ni même joué ensemble. « On a des amis communs » dont Omar Daf auprès de qui Stéphane Mangione a travaillé à Sochaux et Dijon.

Autre nouveau visage, le Hongrois Abel Lorincz est arrivé de Hammarby, en Suède, avec un profil très spécifique, celui de spécialiste des coups de pied arrêtés. Cela va du coup d’envoi aux coups francs en passant par les touches et les corners. Ahmed Kantari avance une donnée : « Aujourd’hui, quel que soit le championnat ou le niveau, 33 % des buts marqués ou encaissés le sont sur coup de pied arrêté. » D’où l’importance d’y porter une attention particulière comme le font aujourd’hui les grands clubs.

Revenu à VA (où il fut joueur) en juin 2023, Damien Perquis continue de s’occuper des gardiens. Thibault Turon-Lagot a aussi gardé le poste d’analyste vidéo qu’il occupe depuis décembre 2023 auprès de l’équipe professionnelle. Corentin Cérami est arrivé de Laval, qui était la meilleure équipe de Ligue 2 sur coups de pied arrêtés la saison dernière. Hasard ou coïncidence, c’est ce sur quoi il travaille (en lien direct avec Abel Lorincz, donc) en tant qu’analyste vidéo. « Partie prenante du staff » celui dont Ahmed Kantari loue le rôle « prépondérant » auprès des joueurs, l’intendant Eddy Duquesnoy reste fidèle au poste.

Le pôle performance

Il est chapeauté par Mathew Banks, le directeur de la performance que Sport Republic avait « débauché » de Southampton, le club anglais du groupe, en cours de saison dernière. Arrivé à Valenciennes en novembre 2023, le Gallois issu du rugby coordonne depuis le début de cette saison les secteurs médical et athlétique. Il a fait venir deux nouveaux préparateurs physiques : Antoine Klein, qui travaillait depuis 2020 au club de rugby du CA Brive, et Valentin Romero, en fin de doctorat du côté de Madrid.

Le staff médical, quant à lui, n’a absolument pas bougé. « J’en étais très content », souligne Ahmed Kantari. Au côté de l’indéboulonnable doc du club, Marc Chasselat, continuent donc d’officier deux kinés à temps plein, Lucas Vinchon, Matthieu Saison, et un à mi-temps, Tony Bertrand, qui était encore stagiaire la saison dernière et qu’« on a eu l’opportunité d’intégrer ». Le nutritionniste Ed Tooley complète le dispositif mais de manière plus ponctuelle puisqu’il intervient comme consultant extérieur.

VALENCIENNES - NÎMES, ce vendredi, 19 h 30, stade du Hainaut. Valenciennes : Louchet ; Kayi Sanda, Poha, Dibassy (cap.) ; Buades, Boissier, Masson, Mpata Lama ; Flamarion ; Oyewusi, Venema. Remplaçants (à choisir parmi) : Camara (g.), Woudenberg, Boutoutaou, Moursou, Antoine, Lilepo, Moké. Absent : Basse (blessé).
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 #1118980  par chris59410
 
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Une équipe de rugby à quinze ? Non, Ahmed Kantari (accroupi), l’entraîneur principal du VAFC, entouré de son staff élargi. De gauche à droite : Thibault Turon-Lagot (analyste vidéo), Corentin Cérami (analyste vidéo), Marc Chasselat (médecin), Matthieu Saison (kiné), Abel Lorincz (entraîneur adjoint), Tony Bertrand (kiné), Lucas Vinchon (kiné), Ahmed Kantari (accroupi, entraîneur principal), Valentin Romero (préparateur physique), Damien Perquis (entraîneur des gardiens), Mathew Banks (directeur de la performance), Stéphane Mangione (entraîneur adjoint), Eddy Duquesnoy (intendant), Antoine Klein (préparateur physique), Ed Tooley (nutritionniste). - PHOTO THIERRY TONNEAUX
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
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 #1119113  par chris59410
 
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Football : VA étoffe son milieu de terrain mais ça reste court en défense

Valenciennes a bouclé son mercato dans les dernières heures en obtenant la signature de Sambou Sissoko et le prêt de Daouda Traoré, deux milieux de terrain. Des arrivées qui donnent un poil plus de profondeur à l’effectif sans résoudre tous les problèmes.

Après le match face à Nîmes, vendredi, même Ahmed Kantari ne savait pas trop à quoi s’en tenir. Sambou Sissoko avait été présenté, à la mi-temps, au public du stade du Hainaut mais à moins d’une heure et demie de la fermeture du marché estival, l’entraîneur attendait encore (au moins) une bonne nouvelle. « Je fais confiance à ma direction, aux recruteurs, ce ne sont pas forcément des dossiers évidents qu’on a à gérer, ce n’est pas un mercato facile. »

La situation s’est finalement débloquée via une transaction en interne. Le nom de Daouda Traoré circulait depuis déjà quelques jours après l’échec d’autres pistes qu’aurait explorées le VAFC, dont celle menant au Strasbourgeois Rabby Nzingoula, finalement prêté à Montpellier.

Cela a fini par se faire après que le jeune milieu de terrain (18 ans, 1,86 m), passé pro à Nice en octobre 2022 et transféré à Southampton a atterri dans le Hainaut en prêt (sans option d’achat). Une opération tout bénéf pour le groupe Sport Republic, propriétaire des Saints et de VA, qui y voit l’occasion d’aguerrir le gamin en National avant de le soumettre aux joutes, bien plus rudes, de la Premier League. Ce profil box to box manquait clairement au sein de l’effectif valenciennois.

« L’objectif n’est pas d’avoir un effectif pléthorique, donc forcément, quand on ne double pas certains postes, il nous faut des joueurs un peu couteaux suisses. »

Le club cherchait à renforcer son milieu de terrain après le départ du Danois David Kruse à l’IFK Göteborg. Le voilà désormais fourni avec Daouda Traoré et Sambou Sissoko dont les caractéristiques diffèrent. Moins grand que l’ex-Niçois (1,78 m, 25 ans), plus défensif, « il va nous apporter de la densité et de l’impact », éclaire Ahmed Kantari. Passé par la L1, la L2, le National, la France (Tours, Reims, Quevilly), la Belgique (Seraing) et l’Ukraine (Vorskla Poltava), où il évoluait depuis février, « c’est un joueur qui commence à avoir une belle expérience ».

Capable aussi de dépanner sur plusieurs postes (relayeur, latéral droit), ce qui ne sera pas inutile au sein d’un groupe resserré, limité à 18 joueurs de champ (plus les jeunes du centre de formation). « L’objectif n’est pas d’avoir un effectif pléthorique, donc forcément, quand on ne double pas certains postes, il nous faut des joueurs un peu couteaux suisses. »

Cela ne résout pas non plus tous les problèmes. Ahmed Kantari s’appuyant sur un système à trois défenseurs centraux, il aura du mal à tenir sur la durée avec seulement quatre spécialistes du poste (Kayi Sanda, Dibassy, Woudenberg, Poha) à sa disposition. « Une saison, c’est long, il reste encore beaucoup de matchs, trente-deux en championnat, la coupe, les terrains gras, l’hiver qui va arriver… » Pour trouver son bonheur, VA ne peut plus piocher désormais que parmi les joueurs libres.
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 #1119117  par phil
 
A la lecture de cet article, incompréhensible de ne pas avoir gardé Blancquart quitte à lui faire signer un contrat pro. Il aurait largement pu dépanner en défense.
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 #1119118  par chris59410
 
https://www.lavoixdunord.fr/1497701/art ... -d-attaque
Football (VAFC) : Venema et Oyewusi sont d’attaque

La saison dernière, en Ligue 2, il avait fallu attendre un sacré bout de temps avant qu’un attaquant trouve enfin l’ouverture. Associés devant, Nick Venema et Mathias Oyewusi ont déjà trouvé quatre fois la faille… en deux matchs et demi.

Quand ce n’est pas l’un, c’est donc l’autre. Mathias Oyewusi a ouvert son compteur buts en en passant deux aux Nîmois vendredi, dont un sur penalty qu’il est allé se chercher tout seul en mettant dans le vent Namakoro Diallo. Et quand il s’est fait rattraper, Mehdi Bennedine n’y a pas mis les bons ingrédients. Le 16 août, Nick Venema s’était jeté sur une frappe (non cadrée) du Nigérian pour donner la victoire à VA en ouverture contre Aubagne, avant de récidiver à Orléans même si les circonstances ont fait que ce deuxième but ne lui sera pas crédité, le match arrêté à la mi-temps après l’incendie de la buvette ayant été donné à rejouer (le 9 octobre).

Ça va plutôt bien pour les attaquants de VA en ce début de saison. Aux antipodes d’un exercice 2023-2024 pauvre en buts en L2, pendant lequel le Néerlandais avait traîné son spleen et le Nigérian arrivé fin 2023 n’avait pas brillé par une immense efficacité. Seuls les derniers matchs avaient esquissé une embellie et jeté les bases d’une association dont Valenciennes tire aujourd’hui les bénéfices.

« Quand il y a du travail, du talent, que les joueurs courent ensemble… »

Ahmed Kantari reprend le fil des six matchs de préparation et des deux matchs et demi de championnat de son équipe. « On a marqué à chaque fois en fait, constate-t-il, on sait qu’on est capables de marquer à chaque fois parce qu’on a de la qualité. Aujourd’hui, il y a une bonne complémentarité, une bonne entente entre tous les attaquants. Il y en a deux qui ont commencé le travail (Oyewusi, Venema), deux qui sont entrés, Lilepo et Carny (Antoine) et ont été très bons aussi. Quand il y a du travail, du talent, que les joueurs courent ensemble et jouent les uns pour les autres, ça donne de bonnes choses. » Pourvu que ça dure.
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 #1119152  par chris59410
 
https://www.lavoixdunord.fr/1499128/art ... nc-d-essai
Football (VAFC) : Sambou Sissoko, Daouda Traoré, les p’tits nouveaux au banc d’essai

Le VAFC a complété son effectif en recrutant Sambou Sissoko et Daouda Traoré, deux milieux de terrain, dans les dernières heures du marché estival. Nous nous sommes penchés sur les caractéristiques de ces deux profils différents.

Sambou Sissoko

Son arrivée.Présenté à la mi-temps du match contre Nîmes, vendredi dernier, Sambou Sissoko a reçu les hommages du kop, quelques heures à peine après s’être engagé, jusqu’en 2026, avec le VAFC. Dans un pays en guerre, l’Ukraine, depuis février (au club de Vorskla Poltava), le Franco-Malien de 25 ans (1,78 m) voulait revenir en terre connue. Valenciennes, « un club qui a sa place en deuxième division ou en première », lui a vendu un projet qui l’a séduit.

Son parcours. Formé à Tours, où il a fait ses premiers pas en L2 en 2017, il est passé par Reims (janvier 2019 – juillet 2022), qui l’a prêté à Quevilly l’année de la montée du National en Ligue 2 (2020-2021), et Seraing, en Belgique (juillet 2022 – février 2024), avant de mettre les voiles vers l’Ukraine. Pendant ses deux saisons et demie en Champagne, il s’est contenté de bouts de matchs en L1 (11 apparitions). Il était titulaire en Jupiler Pro League, avec Seraing, mais la descente était au bout du chemin.

Son profil. Ahmed Kantari met en avant « l’intensité » et « l’agressivité » dont sait faire preuve le milieu de terrain pour aller gratter des ballons dans les pieds de l’adversaire. Capable de jouer 6, de jouer 8 mais aussi de dépanner comme latéral droit, ce qu’il a fait notamment avec QRM et Reims. C’est aussi cette polyvalence qui a tapé dans l’œil des recruteurs valenciennois. « J’avais envie de garder tout le monde concerné, explique Ahmed Kantari, et de ne pas surcharger l’effectif » qui compte désormais dix-huit joueurs de champ.

Daouda Traoré

Son arrivée. Il a pris le train dimanche depuis Paris, est descendu à l’hôtel et s’est installé mardi dans son appartement valenciennois, avec sa maman. Daouda Traoré, grand gamin de 18 ans (1,86 m), a découvert entre deux ses nouveaux partenaires et les installations du centre d’entraînement du Mont-Houy, dont la qualité l’a surpris. « On a tout pour bien travailler ici. »

Son parcours. Il avait 15 ans à son arrivée à l’OGC Nice où il a commencé par brûler les étapes puisqu’il a fréquenté les U17, les U19, la réserve et le groupe pro dès sa première saison. Il n’a pas passé le cap suivant, celui de la Ligue 1 (15 minutes en mai face au LOSC). « Il fallait passer à autre chose. » Cette autre chose, le club anglais de Southampton, remonté en Premier League, le lui a offert en le faisant signer cinq ans et en le prêtant dans la foulée une saison à Valenciennes, autre entité de Sport Republic. « Mon objectif, c’était vraiment de jouer en pro », de faire ses armes.

Son profil. Lui-même se définit comme « un joueur plutôt box to box », capable d’évoluer « un peu partout au milieu » mais aussi sur un côté. Un joueur qui aime galoper et « apprend à défendre » puisque ce n’est pas la plus évidente de ses qualités. « On avait besoin d’un 8 capable de se projeter, d’aller jusqu’à la surface de réparation adverse pour créer des différences et apporter le surnombre », complète Ahmed Kantari.

VALENCIENNES - CHÂTEAUROUX, ce vendredi, 18 h 30, stade du Hainaut. Le match a été avancé en raison de la tenue de France - Italie à 20 h 45.

Valenciennes : Louchet ; Kayi Sanda, Poha, Dibassy (cap.) ; Buades, Boissier, Moursou, Mpata Lama ; Flamarion ; Oyewusi, Venema. Remplaçants (à choisir parmi) : Camara (g.), Woudenberg, Masson, Sissoko, Traoré, Antoine, Lilepo, Moké. Absents : Basse (blessé), Boutoutaou (choix).
 #1119153  par chris59410
 
https://www.lavoixdunord.fr/1499041/art ... du-hainaut
« C’est comme un gros tifo » : le VAFC et ses supporters habillent le stade du Hainaut avec une bâche de 128 mètres

Le VAFC, qui a fermé le niveau supérieur des tribunes cette saison pour que le public se concentre à proximité de la pelouse, a décidé d’installer une bâche sur le niveau supérieur du stade du Hainaut. Elle a été mise en place en grande partie par des supporters bénévoles, qui ont participé à sa confection.

Est-ce à cela que l’on reconnaît un club de National ? Un directeur général et d’autres membres de la direction qui viennent, au beau milieu de l’après-midi, donner un coup de main aux supporters pour installer une bâche en tribune. C’est en tout cas ce qui s’est passé mardi, au stade du Hainaut, où une vingtaine de supporters étaient venus – bénévolement – habiller une partie de la tribune Nungesser, celle du kop.

Pendant deux jours, avec l’aide d’employés de l’entreprise Hautline (Leforest), ces supporters ont tiré et fixé une bâche de 128 m et 240 kg pour recouvrir le niveau supérieur d’une tribune qui restera vide cette saison : pour éviter la sensation du vide, seules les tribunes inférieures sont ouvertes au public.

« C’est une bâche à laquelle tout le monde s’identifie et qui donne une belle image de la ville, se réjouit Maxime Lerat, président de la Fédération des supporters valenciennois, qui explique que chaque association de supporters a contribué à la confection. C’est comme un gros tifo. On montre un peu les muscles. »

« Ça fera moins triste et désert. »

Frédéric Limbourg, supporter et membre de la section VAenL1

Cette bâche met à l’honneur des symboles de Valenciennes et du Hainaut – l’hôtel de ville, la gare, un chevalement –, accompagnés de deux messages : « Ici bat le cœur de VA ! » et « Fiers de notre territoire, fiers de notre club, fiers de notre histoire ! »

Parmi les bénévoles venus tirer la bâche, il y a Frédéric Limbourg, supporter depuis les années 1990 et habitant de Pont-sur-Sambre. « Ça fera moins triste et désert », sourit ce membre de la section VAenL1. Et quand ce Hainaut version 2024-2025 fera le plein, ce dont la direction rêve pour trois ou quatre matchs cette saison, il aura fière allure.
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 #1119158  par STEED
 
merci pour la publication des articles de la VDN,

la pose d'une bâche est une bonne idée mais désormais je ne rêve que d'une chose: quelle soit enlevée le plus rapidement possible :wink:
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